Créé en 1986 par une petite équipe de pigistes à Compton, L’écho est devenu un journal communautaire, membre de l’Association des Médias communautaires du Québec, le 21 mars 2019.
Entreprise de communication à but non lucratif, à propriété collective et à gestion démocratique, L’écho dote la région de Compton d’un carrefour d’expression populaire pouvant servir de tribune de diffusion de l’information communautaire locale, en demeurant un instrument de participation des citoyens à l’épanouissement du milieu. Il est publié une fois par mois, sauf en juillet. C’est une équipe fort dynamique qui réussit de mois en mois à concevoir un si beau et grand journal!
L’équipe de création et de production des contenus de L’écho de Compton est formée de professionnels séniors dans leurs domaines respectifs. Le journal a également la chance de pouvoir compter sur plusieurs bénévoles rédacteurs ou photographes chaque mois. Régulièrement, des jeunes viennent aussi y prêter leurs plumes ou leurs talents, ce qui témoigne du vibrant enthousiasme d’une relève potentielle pour ce journal. Chaque mois, l’équipe se consacre à la création d’un nouveau journal, à sa conception et à sa mise en page dans une ambiance d’esprit d’équipe exceptionnel et un impressionnant bouillonnement d’idées.
En tant que directeur général de L’écho, j’assure aux citoyens qu’ils continueront de se reconnaître dans leur journal. En plus du format papier, ils pourront lire et partager en ligne les articles qu’ils affectionnent; et découvrir au fil du temps, toujours plus de contenu original adapté au Web. D’ailleurs, ne soyez pas étonné de me revoir prendre la plume dans les prochaines années ou le micro pour tenter de rejoindre un auditoire qui trouverait en mes propos une source d’inspiration pour guider leur propre destinée.
Devenir rédactrice en chef était pour moi une belle continuité dans mon métier de journaliste. Il me permet de porter un regard plus large sur l’ensemble d’un journal, d’en choisir ce qui sera publié, d’en superviser tous les aspects, de trouver des collaborateurs et de contribuer ainsi à sa production de diverses façons par mes idées et ma plume. Lisette Proulx en a fait un journal vivant, proche de la communauté, et cela correspondait à mes aspirations profondes. J’étais animée par la volonté de perpétuer ce travail selon les mêmes valeurs et dans la même qualité.
En tant que journaliste pigiste, je m’occupe de différentes chroniques comme L’écho des Petits, Compton au boulot, Je bénévole et Les Grandes Familles de Compton. J’ai donc le plaisir de rencontrer différents citoyens et citoyennes pour raconter leurs histoires, leurs passions et leur fierté d’habiter Compton. Mon travail me demande donc de faire des entrevues, de prendre des photos et de rédiger des articles de différentes longueurs, selon le sujet. Je m’amuse beaucoup avec L’écho des Petits pour lequel je crée des jeux, des dessins à colorier et de petits articles pour nos jeunes Comptonois.
Mon poste est plutôt fluide, mes tâches variant selon les besoins et le temps. Je m’occupe de la facturation de nos fantastiques clients, de la paie des employés, de remplir et payer les formulaires gouvernementaux mensuels et trimestriels ainsi que de petits projets spéciaux dont un qui vous sera révélé sous peu. Sinon, je m’occupe aussi de toutes autres tâches connexes qui me sont demandées au besoin.
Nouvellement dans l’équipe, je suis responsable de la conception graphique de L’écho à chaque mois. Avec un bagage de formations en secrétariat et en infographie, le mix est parfait pour le montage d’un journal. À mon compte depuis 2009 sous ma compagnie Eucalyptus création graphique, j’ai une clientèle assez variée. Mes spécialités passent du branding à la conception d’emballages produits, mais je cultive tout de même une petite passion pour la typographie et le montage de revue.
L’OBNL L’écho de Compton est chapeauté depuis mars 2019 par un CA, maintenant guidé par son président Richard Vachon. Les six membres du CA veillent à la bonne marche administrative du journal, en évaluent régulièrement la santé financière et la gestion opérationnelle et appuient l’équipe de production dans certaines de ses démarches ou certains de ses projets. Le CA est là pour représenter les intérêts du journal et son équipe et ses membres sont appelés à prendre certaines décisions au sein de l’OBNL et fournir certaines orientations quant à ses intérêts financiers et administratifs.
2018
Jean-François Quirion, Marie-France Ouellet, Isabelle Binggeli, Brigitte Robert, Danielle Robinet, Jean-Christophe Levac, sous la présidence de Lisette Proulx
2019
Jean-François Quirion, Marie-France Ouellet, Danielle Robinet, Isabelle Binggeli, Jean-Christophe Levac, Brigitte Robert, sous la présidence de Lisette Proulx
2020
Brigitte Robert, Isabelle Binggeli, Jessica Garneau, Danielle Robinet, Bernard St-Laurent, Maude Zulauff, sous la présidence de Lisette Proulx
2021
Lisette Proulx, Danielle Robinet, Jessica Garneau, Samanta Goulet, Maude Zulauff, Bernard Saint-Laurent, sous la présidence de Richard Vachon
2022
Lisette Proulx, Danielle Robinet, Jessica Garneau, Bernard Saint-Laurent, Samanta Goulet, sous la présidence de Richard Vachon
2023
Lisette Proulx, Danielle Robinet, Bernard St-Laurent, Samanta Goulet, sous la présidence de Jessica Garneau
J’ai décidé de m’impliquer dans le CA de L’écho, car j’avais envie de m’engager dans ma belle communauté, de rencontrer des gens qui y habitent et de contribuer en y partageant mes compétences et mon temps. Je crois profondément qu’un village connaît une belle vitalité lorsque chacun contribue à la hauteur de ses aptitudes! J’agis à titre de trésorière au sein du CA de L’écho en participant aux réunions, en apportant des idées, en signant les paiements des artisans de ce magnifique journal.
C’est en janvier 2018, en vue de ma retraite, que j’ai légué mon poste de rédactrice en chef de L’écho à la très lumineuse Danielle Goyette et inscrit notre journal au statut d’organisme à but non lucratif dont j’ai assumé la présidence du conseil d’administration jusqu’à ce que le dynamique Richard Vachon me remplace en janvier 2022. Mais, ma ferveur pour la continuité et le développement de notre précieux journal me poussent à continuer de siéger au poste de vice-présidente de L’écho, tout en profitant de ma retraite pour vivre à plein ma passion pour les voyages, la photographie, le camping en nature et les précieux moments de pure joie avec mon adorable petit-fils.
J’ai voulu tout naturellement me joindre au conseil d’administration de l’organisme à but non lucratif L’écho de Compton, lors de sa fondation en 2018. Mes compétences de directrice artistique et mon expérience dans la mise en page de magazines et de contrôle de la qualité de la production et de l’impression étaient mises à profit les premières années. Depuis peu, j’y occupe le poste de secrétaire avec un rôle simplifié qui convient à mon horaire et qui consiste à rédiger les procès-verbaux de nos rencontres et de l’assemblée générale annuelle. Ceci implique de prendre en note les éléments importants discutés, de les résumer, puis de préparer les résolutions du conseil.
Pour moi, faire partie de L’écho est comme un retour aux sources. Mes racines à Compton sont très profondes. J’y ai même fait mes études primaires à l’école Notre-Dame-Des-Prés. Je continue de porter ce village dans mon cœur pour toujours.
Tout au long de mes 40 années de carrière, j’ai travaillé à la radio, à la télé et pour la presse écrite. J’ai siégé au comité de plaintes du Conseil de Presse du Québec. En 1986 J’ai servi comme président de La Tribune de La Presse de l’Assemblée nationale. Avec tout ce bagage et toutes ces années passées bien occupées, je pense que mon expérience peut ainsi contribuer aux décisions que le conseil d’administration est appelé à prendre.
Mes tâches principales en tant que membre du conseil administratif sont d’assister aux réunions et participer au meilleur de mes connaissances pour la réussite des projets de L’écho. Pendant un moment, j’ai aidé à la mise en ligne des textes sur le site Web, il m’est arrivé d’assister Richard et Bernard lors d’entrevue. J’ai aussi eu la chance d’écrire des textes sur différents sujets au cours des deux dernières années et je souhaite avoir encore la chance de partager avec les membres de L’écho cette passion qui m’est si chère!
Ils ont été importants dans la continuité et la ferveur qui n’a jamais fait défaut à L’écho de Compton.
Faites connaissance avec certains des ex-Écho qui ont contribué pendant plusieurs années, à un moment ou un autre, à la bonne marche de notre journal. À l’époque, celui-ci n’était pas encore un journal communautaire, mais un journal porté à bout de bras par quelques pigistes persévérants. Au fil des ans, il a changé de look, de format, de nombre de pages, mais il a toujours conservé sa mission principale, être la voie d’une communauté comptonoise tissée serrée.
Pour plus sur l’histoire du journal L’écho de Compton, rendez vous à notre page À propos!
À proposEn 1996, je venais de commencer à rénover ma maison du chemin Robert à Compton Station et je cherchais un petit revenu d’appoint. J’étais donc heureux de pouvoir reprendre la rédaction de L’écho. C’était une période très dynamique. En effet, il y a eu la première fusion entre Compton et Compton-Station, la fondation du CPE – dont je devins président – et l’arrivée de plein de nouveaux projets au village (boulangerie, restaurants).
En 2006, le Comité des Fêtes du 150e m’a offert l’opportunité de publier une chronique historique qui a suscité tellement d’engouement que je l’ai poursuivie jusqu’en 2011, bien au-delà du projet initial. J’avais alors le sentiment de donner à ma communauté et cela me nourrissait. D’ailleurs, au village, à l’épicerie ou ailleurs, j’étais abordée par des lecteurs intéressés par mes articles. Plusieurs ont contribué par des photos ou des informations, en plus des trésors découverts dans le livre de M. Ferland.
En octobre 2009, j’ai collaboré à la rédaction de L’écho tout en m’impliquant à plusieurs niveaux. D’abord comme bénévole, puis pigiste. Ayant de l’expérience dans divers domaines et professions, dont la restauration, l’agroalimentaire et des études en Management ainsi qu’en Littérature à l’université, j’avais un mélange parfait pour contribuer à donner un nouvel élan au journal à l’époque où L’écho publiait sa première version sous le format tabloïd de 12 pages, dont 4 pages couleur.
Au départ, j’ai travaillé sur le feuillet 8 ½ X 11 qu’était alors L’écho, puis, j’y ai greffé mes idées. L’écho était déjà publié tous les mois. Je m’y suis vite attaché. C’est vite devenu un bébé! Je voulais qu’il soit beau, j’y mettais l’énergie et le temps. J’ai beaucoup aimé lorsqu’il est passé au tabloïd, parce que ça me donnait plus de jeu en graphisme et il y avait de la couleur dans certaines pages. Au fil des années, j’ai toujours essayé de l’améliorer.
En tant que responsable des communications, je m’occupe principalement des activités de L’écho en ligne. Je maintiens régulièrement le site Web du journal à jour et je m’occupe des réseaux sociaux. Notamment, j’ai récemment créé une page Instagram pour le journal. Il est aussi possible que je vous approche pour vous poser des questions : j’ai comme tâche de créer du contenu Web-exclusif, alors attendez-vous à voir plus de vidéos sur notre site Web et nos réseaux sociaux dans les prochains mois! Sinon, j’ai comme but principal de promouvoir le journal, d’encourager plus de gens à devenir membre et d’élargir notre lectorat.
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