Les coulisses de L’écho: Lisette Proulx

Lisette Proulx
Lisette Proulx. Crédit photo: Jessica Garneau

Née et ayant grandi sur une ferme laitière dans la fertile vallée du Saint-Laurent, j’ai toujours aimé la nature, le fleuve et les grands espaces. Après mes études en Histoire de l’Art à l’Université Laval et en animation de groupe à l’Université de Montréal, j’ai suivi une formation en Science de l’intelligence créatrice à Meru en Suisse, pour devenir instructrice de Méditation transcendantale (MT), une profession que j’ai exercée avec passion pendant plus de vingt ans au Canada, en Europe et en Asie, à la fois pour enseigner ou fonder et gérer des centres de méditation. C’est d’ailleurs ce qui m’a permis d’atterrir à Compton en 1992 lorsque l’organisation internationale de MT avait acheté le King’s Hall où mon conjoint et moi avons géré un centre de méditation et de développement personnel ainsi qu’une clinique de santé Ayurvédique.

Lors de la fermeture de cette institution en 1998, ayant été totalement charmés par Compton, sa communauté et ses paysages, nous avons décidé de nous établir ici avec notre petite famille. C’est alors que j’ai pris la relève de la gestion et de la rédaction de L’écho de Compton. Un cadeau de la vie qui m’a permis de m’intégrer et de m’investir à fond dans notre merveilleuse communauté. 

En 2005, mon amour de la terre et de l’agriculture et mon admiration pour la passion de nos producteurs m’ont inspirée à fonder les Comptonales et me charger de la direction de cet évènement pendant ses cinq premières années, grâce au chaleureux soutien et l’enthousiasme de précieux amis et partenaires comptonois. J’ai également travaillé dans notre milieu comme traductrice, agente de développement, photographe, animatrice à la radio et bénévole.

C’est en janvier 2018, en vue de ma retraite, que j’ai légué mon poste de rédactrice en chef de L’écho à la très lumineuse Danielle Goyette et inscrit notre journal au statut d’organisme à but non lucratif dont j’ai assumé la présidence du conseil d’administration jusqu’à ce que le dynamique Richard Vachon me remplace en janvier 2022. Mais, ma ferveur pour la continuité et le développement de notre précieux journal me poussent à continuer de siéger au poste de vice-présidente de L’écho, tout en profitant de ma retraite pour vivre à plein ma passion pour les voyages, la photographie, le camping en nature et les précieux moments de pure joie avec mon adorable petit-fils.

Longue vie à L’écho!

Lisette Proulx, vice-présidente du CA de L’écho et ex-rédactrice en chef

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