Himno Nacional de Guatemala / Hymne national du Guatemala

close up sur la carte du guatemala. L'Himno Nacional de Guatemala
Image provenant de Canva

Danielle Goyette

11.07.2023
La versión en español sigue

L’Himno Nacional de Guatemala, aussi appelé Guatemala Feliz, a été écrit par le poète cubain José Joaquín Palma, et la musique, composée en 1897 par Rafael Álvarez Ovalle. Certaines paroles ont été modifiées en 1934 par José María Bonilla Ruano (José María Bonilla). En 1897, l’Académie de musique de Milan, en Italie, déclarait que Guatemala Feliz était l’hymne national le plus beau du monde, et en 1965, les Nations unies considéraient cet hymne, la Marseillaise et celui de la Tchécoslovaquie comme les hymnes les plus beaux du monde!

El Himno Nacional de Guatemala, también conocido como Guatemala Feliz, fue escrito por el poeta cubano José Joaquín Palma, y la música fue compuesta en 1897 por Rafael Álvarez Ovalle. Parte de la letra fue modificada en 1934 por José María Bonilla Ruano. En 1897, la Academia de Música de Milán (Italia) declaró a Guatemala Feliz el himno nacional más bello del mundo, y en 1965 las Naciones Unidas lo consideraron, junto con la Marsellesa y el himno de Checoslovaquia, los himnos más bellos del mundo.

Vous pouvez l’écouter ici!
¡Puedes escucharlo aquí!

Voici la version de 1934

¡Guatemala Feliz…! que tus aras
no profane jamás el verdugo;
ni haya esclavos que laman el yugo
ni tiranos que escupan tu faz.

Si mañana tu suelo sagrado
lo amenaza invasión extranjera,
libre al viento tu hermosa bandera
a vencer o a morir llamará.

Coro
Libre al viento tu hermosa bandera
a vencer o a morir llamará;
que tu pueblo con ánima fiera
antes muerto que esclavo será.

De tus viejas y duras cadenas
tú forjaste con mano iracunda,
el arado que el suelo fecunda
y la espada que salva el honor.

Nuestros padres lucharon un día
encendidos en patrio ardimiento,
y lograron sin choque sangriento
colocarte en un trono de amor.

Coro
Y lograron sin choque sangriento
colocarte en un trono de amor,
que de patria en enérgico acento
dieron vida al ideal redentor.

Es tu enseña pedazo de cielo
en que prende una nube su albura,
y ¡ay! de aquel que con ciega locura
sus colores pretenda manchar.

Pues tus hijos valientes y altivos,
que veneran la paz cual presea,
nunca esquivan la ruda pelea
si defienden su tierra y su hogar.

Coro
Nunca esquivan la ruda pelea
si defienden su tierra y su hogar,
que es tan sólo el honor su alma idea
y el altar de la patria su altar.

Recostada en el ande soberbio,
de dos mares al ruido sonoro,
bajo el ala de grana y de oro
te adormeces del bello Quetzal.

Ave indiana que vive en tu escudo,
paladión que protege tu suelo;
¡ojalá que remonte su vuelo,
más que el cóndor y el águila real!

Coro
¡Ojalá que remonte su vuelo,
más que el cóndor y el águila real,
y en sus alas levante hasta el cielo,
Guatemala, tu nombre inmortal!


Traduction

Heureux Guatemala ! Que le bourreau
ne profane jamais tes autels
ni qu’il y ait d’esclaves qui lèchent le joug
ni de tyrans qui te crachent à la face.

Si une invasion étrangère
menace demain ton sol sacré,
flottant au vent, ton beau drapeau
invitera à vaincre ou à mourir.

Chœur
Flottant au vent, ton beau drapeau
invitera à vaincre ou à mourir,
car ton peuple à l’âme féroce
sera mort plutôt qu’esclave.

Avec tes vieilles chaînes dures,
tu forgeas, d’une main courroucée,
la charrue qui féconde le sol
et l’épée qui sauve l’honneur.

Nos pères luttèrent un jour,
enflammés par une ardeur patriotique,
et réussirent, sans affrontement sanglant,
à te placer sur un trône d’amour.

Chœur
Et réussirent, sans affrontement sanglant,
à te placer sur un trône d’amour,

Avec toute l’énergie de la patrie,
car ils donnèrent vie à l’idéal rédempteur.

Ton drapeau est un morceau de ciel
où un nuage saisit sa blancheur,
et gare à celui qui, par une aveugle folie,
prétendra tacher ses couleurs,

Car tes fils fiers et courageux,
qui vénèrent la paix comme un joyau,
ne se soustraient jamais à la rude bataille
s’ils défendent leur terre et leur foyer.

Chœur
Ne se soustraient jamais à la rude bataille
s’ils défendent leur terre et leur foyer,

Tant leur âme ne conçoit que l’honneur

Car l’autel de la patrie est le leur,


Appuyé sur les Andes superbes,
au bruit sonore de deux mers,
tu t’endors sous l’aile or et écarlate
du beau quetzal,

Oiseau indien qui vit sur tes armoiries,
palladium qui protège ton sol.
Qu’il s’élève plus haut
que le condor et l’aigle royal !

Chœur
Qu’il s’élève plus haut
que le condor et l’aigle royal
et que, sur ses ailes, il porte au ciel,
Guatemala, ton nom immortel !

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